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Compte-rendu - Réunion du comité de pilotage du 17 décembre 2018

Membres présents
Romuald BONÉ, Directeur ENIB
Thierry LE MAGUERESSE, Directeur des relations entreprises
Céline ANSQUER, Directrice du département électronique
Gireg DESMEULLES, Directeur du département informatique
Erwan CONTAL, Directeur du département mécatronique
Jean-Pierre DALLET, Représentant ANIENIB
Germain LEMARIÉ, Représentant ANIENIB (SNEF)
Pascal MARCILLAC, Représentant ANIENIB (SNEF)
Chantal CALVÈS, Responsable du service relations entreprises

T. Le Magueresse introduit la réunion avec l’ordre du jour : cerner d’une part les grands domaines de compétences soumis à l’observatoire des métiers et d’autre part, définir le choix des personnes qui feront partie de l’observatoire.

T. Le Magueresse rappelle les grandes lignes de la lettre de cadrage rédigée au mois de juillet 2018.

Les premiers échanges concernent les compétences qui doivent être soumises à l’observatoire.
P. Marcillac : les ingénieurs énibiens font de tout. Il y a 4790 ingénieurs ENIB et il y a autant de fonctions, le champ est très vaste.
C. Ansquer : ses contacts sur le réseau Linkedin sont pour beaucoup des anciens énibiens diplômés depuis deux ou trois ans. La soixantaine de ses contacts sont des ingénieurs qui exercent tous des métiers différents.
P. Marcillac : c’est compliqué de trouver une palette complète.
T. Le Magueresse : pas une plaquette complète mais des prépondérants.
R. Boné : la CTI regarde si on répond bien à des besoins des entreprises. Préoccupations communes dans les évolutions de carrières.
P. Marcillac : il faudrait réaliser une photo des élèves sortis de l’école à 10 ans, à 20 ans et à 30 ans. Il expose sa propre situation : en sortant de l’ENIB, il faisait de la programmation ; actuellement, il ne fait plus du tout de programmation. Les profils de G. Lemarié et de J.P. Dallet ont eux aussi évolués.
G. Lemarié : il faut regarder l’évolution plus que les compétences. Il faut être dans la logique de l’ingénieur « il apprend à apprendre ». Être dans l’optique de continuer à évoluer.
J.P. Dallet : Il y a peu de recrutement d’ingénieurs avec leur étiquette « généraliste ».
C. Ansquer : vous pensez que les ingénieurs continuent à être recrutés pour un particularité technique ? G. Lemarié, P. Marcillac et J.P. Dallet lui répondent tous par l’affirmative.
G. Lemarié : les ingénieurs d’aujourd’hui ne sont plus les mêmes qu’il y a 10 ans. Les recruteurs regardent plus le comportemental et après le bagage technique. Est-ce qu’il aura envie de s’investir ?
C. Ansquer : l’observatoire des métiers est de circoncire cette espace de capacités techniques ?
R. Boné : c’est l’échange des points de vue d’enseignants, de recruteurs … Quand on recrute pour faire telle tâche, l’ingénieur pourra évoluer parce qu’il est généraliste et parce qu’il a la capacité d’évoluer.
La clé d’entrée des évolutions parait intéressante.
G. Lemarié : la conjoncture des cadres est bien meilleure aujourd’hui. En ce qui concerne les cadres de demain, il faudra aller plus les chercher. Il faudra travailler l’attractivité de l’entreprise.
R. Boné : l’observatoire des métiers se veut différent de l’enquête de placement menée par l’ENIB.
Il faut qu’il y ait beaucoup de recruteurs (RH) dans l’observatoire.
G. Desmeulles : il faut s’appuyer sur des enquêtes pour l’OM ?
J.P. Dallet : on peut regarder les sortis ENIB d’il y a 10 ans et étudier l’évolution.
R. Boné : il faut lancer cette étude mais l’objectif du jour est de définir la liste des 18 intervenants de l’observatoire. Il est nécessaire que la moitié doit être des recruteurs RH et l’autre moitié, des recruteurs techniques.
R. Boné : il serait bien qu’Arkea fasse partie de l’observatoire. Il attend des personnes présentes ce jour de faire des propositions d’entreprises.
C. Ansquer : il faut THALES.
R. Boné : il ne faut pas que des très grands groupes ou grands groupes.
G. Desmeulles : faut-il des sociétés de service : Sopra Steria.
C. Ansquer : pour trouver les petites entreprises, il faut regarder le bassin d’emploi.
R. Boné : il faut faire attention de ne pas avoir trop d’énibiens dans la liste des personnes. Dans le cas d’un RH, il faut qu’il vienne d’une grande entreprise afin d’avoir eu à recruter des énibiens et des étudiants diplômes des autres écoles.
G. Desmeulles : dans les organes de gouvernance, y a-t-il des personnes vers qui on pourrait de tourner comme la Région ou le technopôle ?
R. Boné : ce ne sont pas des personnes qui sont en entreprise.

Liste d’entreprises :
Airbus
Alcatel / Orange
Apside
Ariane Group (Crozon) (Emanation de Safran et Airbus)
Arkea
Asamgo (Entreprise objets connectés piscine port de commerce)
ASI
Capgemini
Cooperl
Dassault Systèmes
DETI
Multiplast
Naval Group
NKE
Open Ocean
RTSYS
SDMO
Sopra Steria
Technology and Strategy
Technopôle Brest-Iroise
Thales (RH – avec retour sur ce qui a été dispensé pour la formation des ingénieurs ENIB)
Valeo Angers ou PSA Rennes
Vinci Energies
Virtualys/Diateam

R. Boné (s’adressant aux directeurs/trice de départements) : avec cette liste, manque t-il une entreprise ?
C. Ansquer : DETI (= niche de l’électronique)
E. Contal : en mécanique, Multiplast ok. Ensuite, ça dépend de qui on prend chez Dassault.
C. Ansquer : chez Naval Group, il y aura aussi de la mécanique.
R. Boné : il manque le domaine du transport. Il faudrait rajouter une entreprise de ce domaine. On rajoute Valeo Angers ou PSA Rennes ?

R. Boné : L’ANIENIB va sortir deux tops 100 : un top 100 des entreprises françaises et internationales et un top 100 des entreprises en Bretagne.

P. Marcillac : il y a quelques entreprises qu’il faut prendre absolument comme Thales, Arkea ou Naval Group. On sait qu’il y a des énibiens et on sait qu’elles vont encore recruter des énibiens.
R. Boné : je crois beaucoup aux sociétés de services pour décrire les métiers futurs. Il faut de sociétés de services industrielles et pas que de services uniquement.
P. Marcillac : T. Le Magueresse doit dire également quelles entreprises doivent être obligatoirement présente pour cause de partenariat : Apside, ASI.
R. Boné : la convention de partenariat pourrait être suggérée par les chefs de département.

R. Boné : les échanges entre les personnes va se faire via le WIKI
G. Desmeulles : Nécessité d’une personne qui sait faire de la méthodologie d’enquêtes, peut-être quelqu’un de l’IUMM via Alain Puillandre ? Vision méthodologie sur les réflexions et analyse que l’observatoire peut avoir.
C. Ansquer : À 30 autour d’une table, il faut quelqu’un qui sache tirer l’information d’une réunion à un si grand nombre.
R. Boné : il faut regarder du côté de l’ADEUPA (Analyse dans tous les domaines)

R. Boné clôture la séance et récapitule les actions à venir :
- Liste des entreprises citées ce jour
- les deux tops 100
- Réflexions sur les différentes tailles d’entreprises, les différentes responsabilités, les ingénieurs recruteurs et les RH.
Les échanges se feront via ce wiki.

  • Dernière modification : 2018/12/18 14:02
  • de chantal.calves@enib.fr