reunions:compte-rendu_-_reunion_du_comite_de_pilotage_du_13_fevrier_2019

Compte-rendu - Réunion du comité de pilotage du 13 février 2019

Membres présents
Romuald BONÉ, Directeur ENIB
Thierry LE MAGUERESSE, Directeur des relations entreprises
Pascal REDOU, Directeur des études
Céline ANSQUER, Directrice du département électronique
Gireg DESMEULLES, Directeur du département informatique
Erwan CONTAL, Directeur du département mécatronique
Pascal MARCILLAC, Représentant ANIENIB (SNEF)
Chantal CALVÈS, Responsable du service relations entreprises
Membres excusés
Jean-Pierre DALLET, Représentant ANIENIB
Germain LEMARIÉ, Représentant ANIENIB (SNEF)
Didier POIRSON, Ingénieur THALÈS

Ordre du jour :
- Arrêter la liste des entreprises ;
- Définir les fonctions métiers dans chaque entreprise.

R. BONÉ : D’une manière générale, la CTI et l’HCERES poussent ces réflexions. Ces organismes n’aiment pas que les évolutions des maquettes pédagogiques soient faites en vase clos.
Dans quelques mois, après avoir assuré la soutenabilité des enseignements, il y aura une réflexion à faire sur les programmes.

T. LE MAGUERESSE : Suite à la réunion du mois de décembre, une liste de contacts ou de personnes qui pourraient être membres de l’observatoire a été établie. Les fonctions des personnes ont été identifiées. Les entreprises auxquelles le CoPil n’avait pas pensé lors de la dernière réunion et celles qui ont signé une convention de partenariat ont été ajoutées à cette liste.

C. ANSQUER : Quelles sont les petites entreprises ?
T. LE MAGUERESSE : ASAMGO, DETI, OPEN OCEAN (Technopôle Brest-Iroise et Paris)
P. MARCILLAC : SDMO fait le lien entre les différents domaines de l’école, ils sont vraiment pluridisciplinaires.

VALEO VISION : pas de stage, pas de contact. T. LE MAGUERESSE a donc pensé à SKF. Ils seront à démarcher.

PSA : Si Mohamed SEKIATI = VAE ENIB en automne 2016. Il sera le point d’entrée de T. LE MAGUERESSE pour avoir une personne de cette entreprise pour l’observatoire.

G. DESMEULLES :
c’est bien d’avoir une personne qui a effectué une VAE. Elle a un regard différent, elle a observé les ingénieurs.
Est-ce que c’est le côté professionnel ou personnel qui prévaut chez les potentiels participants de l’observatoire des métiers ?
R. BONÉ : les deux aspects sont intéressants.

Pour le choix des entreprises, G. DESMEULLES propose des critères d’équilibrage.
P. MARCILLAC : il faut voir les entreprises qui sont stratégiques pour l’ENIB.

C. ANSQUER : il faut établir des critères
- Critère 1 : les incontournables
- Critère 2 : la taille des entreprises
- Critère 3 : les fonctions des personnes + proportion enibiens/énibiennes

G. DESMEULLES : la parité est-elle importante ?
R. BONÉ : au moins le même pourcentage de femmes dans l’observatoire que de jeunes femmes dans l’école.

G. DESMEULLES : il faut regarder aussi le critère de l’âge. Est-ce qu’on veut des gens sortis de l’école il y a 5 ans ou 40 ans ?
R. BONÉ : Il existe une enquête portant sur les trois dernières promotions. L’observatoire pourrait faire l’objet de questions spécifiques qui seraient ajoutées à cette enquête. Il n’y aurait donc pas d’intérêt à inclure ces personnes dans l’observatoire. Donc, les personnes participant à l’observatoire seraient sorties de l’école depuis au moins 5 ans.

Qui sont les incontournables ?
T. LE MAGUERESSE identifie les entreprises ayant signé une convention de partenariat. Il précise que ce n’est pas parce qu’elles ont signé une convention de partenariat qu’il faudra les prendre. D’ailleurs, nous ne pourrons pas toutes les prendre.
- THALES DMS France
- APSIDE
- ARKEA
- ASI
- RTSYS
- TECHNOLOGY & STRATEGY
- VINCI Energies
- DIATEAM
- SII
- ASSYSTEM TECHNOLOGIES
- ASTEN
- CORIOLIS COMPOSITES
- EDIXIA AUTOMATION
- INFOTEL CONSEIL
- STMicroelectronics

C. ANSQUER :
- ARKEA : présent au CA +Étudiants en stage, contrat pro + embauche.
- ASI : embauche beaucoup d’énibiens. Ils sont sur Brest, Nantes, Rennes et en Vendée.
- Capgenimi : M. FROMENTEAU fait les simulations d’entretiens.

C. ANSQUER souligne qu’il ne faudrait pas sélectionner uniquement des entreprises qui emploient des énibiens. Il faut aussi se tourner vers celles qui n’en emploient pas.

G. DESMEULLES : Asi, Capgemini, Sopra Stéria … Il faut faire attention de ne pas prendre trop d’entreprises dans le domaine informatique.
C. ANSQUER : si on a Sopra Steria, avons-nous un intérêt à prendre à prendre Asi et Capgemini ?

Comme institutionnel : Pépite ou le Technopôle Brest-Iroise ?
R. BONÉ : le Technopôle Brest-Iroise se bouge beaucoup pour le technopôle. L’ENIB pourrait solliciter Éric VANDERBROUCKE, Directeur du Technopôle Brest-Iroise.

Dans le domaine de la mécatronique, P. MARCILLAC cible SKF. C. ANSQUER cite le service d’un candidat VAE récent, Olivier JEZEQUEL de TUS.

G. DESMEULLES émet le souhait de voir dans l’observatoire une des trois entreprises suivantes : Diateam, Virtualys ou Cervval.

ADEUPa serait à intégrer à l’observatoire comme participane ou comme invité.
Il y aurait donc ADEUPa et Pépite pour son côté entreprenariat.

Thalès : généraliste
Arkea : Informatique
ASI : informatique
Capgemini : informatique
Cooperl : généraliste
Deti : électronique
Rtsys : généraliste
SDMO : généraliste
Sopra Stéria : informatique
SKF : mécanique
Vinci Energies : généraliste, électronique
Diateam : informatique
Nava Group : génaraliste

P. MARCILLAC précise qu’il faut trouver plus d’entreprises orientées mécanique et électronique.
C. ANSQUER et G. DESMEULLES demandent pourquoi ne pas prendre Cabasse (acoustique, DSP, carte de développement, filtre embarqué économe en CPU …).

CORIOLIS sont associés à l’IRDL

G. DESMEULLES : avons-nous des entreprises qui ne recrutent pas des énibiens et qu’on aimerait bien avoir en partenaire ?

P. MARCILLAC :
il faut penser à une entreprise de méca.
G. DESMEULLES : ECA ?
P. MARCILLAC : pourquoi pas PIRIOU ?
P. MARCILLAC a des contacts dans cette entreprise. Elle est intéressante pour l’aspect chantier naval.
C. ANSQUER : si le domaine de la mer figure dans l’observatoire, il faut penser aux robots autonomes.

Ok pour PIRIOU (à la fois informatique, électronique et mécanique).

P. REDOU propose Gold of Bengal à Concarneau
Low tech. Contact : Clément Chabaud

Bilan des entreprises sélectionnées pour participer à l’observatoire
ADEUPa
ARKEA
ASI
CABASSE
CAPGEMINI
COOPERL
CORIOLIS
DETI
DIATEAM
Gold of Bengale
NAVAL Group
Pépite Bretagne
PIRIOU
RTSYS
SDMO
SKF
SOPRA STERIA
Technopôle Brest-Iroise
THALES DMS France
UIMM Finistère
VINCI ENERGIES
  • Dernière modification : 2019/04/10 12:42
  • de chantal.calves@enib.fr